Vitesse réduite sur le rang Saint-André
Saint-Philippe, le 10 mars 2021 – Lors de la séance ordinaire du 9 mars, les membres du conseil municipal ont adopté des modifications au règlement 1008-00 RIP concernant la circulation, le stationnement et la sécurité publique.
Ces modifications visent à réduire la limite de vitesse de 70 km/h à 50 km/h sur une partie du rang Saint-André et à autoriser deux passages pour piétons sur la route Édouard-VII, aux intersections de la montée Monette et le rue Georges-Henri.
Rang Saint-André
La limite de vitesse passe à 50 km/h sur le rang Saint-André, sur le tronçon sud situé entre la montée Monette et la limite de la municipalité de Saint-Jacques-le-Mineur.
La vitesse autorisée sur la partie nord du rang Saint-André, entre la montée Monette et la ville de Candiac, est déjà fixée à 50 km/h.
Passages pour piétons
La modification réglementaire régularise également deux passages piétons sur la route Édouard-VII, à l’angle de la montée Monette et de la rue Georges-Henri. Ces passages, déjà existants, sont dorénavant identifiés avec de la signalisation homologuée. Cet ajustement permet aux autorités de mettre en application les dispositions du Code de la sécurité routière concernant les infractions commises en lien avec les passages pour piétons.
« Les modifications adoptées s’inscrivent, encore une fois, dans un souci d’améliorer les déplacements et la sécurité sur notre territoire. J’invite les usagers de la route à être attentifs à la nouvelle signalisation en vigueur et surtout à redoubler de prudence à l’approche des passages pour piétons » mentionne Johanne Beaulac, mairesse de Saint-Philippe.
À propos
La Ville de Saint-Philippe, située dans la MRC de Roussillon au cœur de la Montérégie, a 275 ans d’histoire. Sillonnée par la rivière Saint-Jacques et bordée par les autoroutes 15 et 30, elle offre à la fois les avantages de la vie en campagne et la proximité des grands centres. Son territoire de 62 kilomètres carrés, dont 93% se retrouvent en zone agricole, lui confère un caractère champêtre où l’urbanité côtoie la ruralité. Au cours des dernières années, la ville a connu une des plus fortes croissances démographiques de la région et sa population devrait atteindre les 13 000 citoyens d’ici 2031.